D'un service pour un ami

Angelyque a écrit:

Citation :

Eusaias de Blanc-Combaz,
Baron de Digoine,
Seigneur de Saint Robert.

Demande d'octroi :

Baronnie de Mâlain

Terres déjà possédées :

Charges impactées :

Détails :

Patente soutenue par :

La patente a le soutien de la quasi unanimité de la noblesse de Bourgogne, seule une personne, aujourd'hui décédée s'est élevée contre, raison invoquée: Une batonnade sur le roturier Mildiou, ce dernier rependait des calomnies sur la duchesse en place.

Hauts faits:

Citation :: Décoration :

- Titulaire de la Toison d’Argent (janvier 1459)

Fonctions ducales :

- Duc de Bourgogne de Mars 1459 à Mai 1459.

- Duc de Bourgogne mars 1458, il fut empoisonné ce qui écourta son mandat.

- Porte Parole de Bourgogne janvier 1459. Le Baron n’a pas fait que placarder les annonces dans notre duché, il leur à donné force et caractère, il n’a pas ouvert les débats, mais les menait animés avec le panache qui est le sien. Nous avons appris que certains autres duchés s’intéressaient à sa manière et envisageaient de faire pareil.

- Vice Chambellan de Bourgogne Décembre 1458, il fut promu très vite à cette fonction tant son travail était exemplaire. Travailleur soigné et attentif, son esprit et sa réactivité nous sont cruciaux pour maintenir le duché en harmonie.

-Consultant Ducal depuis septembre 1458, ses conseils forts avisés nous ont retiré de plusieurs soucis et autres tentatives de déstabilisations. Cette « éminence grise » a été l’un des plus grands artisans de la réussite de notre gouvernance.

- Ambassadeur Bourguignon rattaché en limousin de janvier 1458 à mi-mars 1458, Eusaias perça le secret du Vicomte Dragonet. Le chambellan Limousin prévoyait d’offrir un libre passage sur ses terres aux bretons afin que ceux-ci puissent attaquer au cœur au cœur du royaume et notamment en Bourgogne, duché qui leur avait tenu tête durant la guerre. Sur les conseils de l’ambassadeur Eusaias, le chambellan de Bourgogne bloqua tous échanges avec le Limousin ce qui assura sans doute, sérénité et sécurité en Bourgogne.

- Ambassadeur de Bourgogne rattaché en Guyenne. Depuis Novembre 1458 il ne cesse de tout mettre en œuvre afin d’apporter liens fort et amicaux avec ce duché.

- Ambassadeur de Bourgogne rattaché en Béarn, Gascogne et Rouergue. Novembre, 1458- janvier 1459 Il s’engage pleinement dans sur ses chemins afin de palier aux démissions en cascades que les maux de deux vice Chambellan avaient engendré fragilisant la Bourgogne.

Fonctions Militaires:

- Chef d’une branche du renseignement Bourguignon, son implication a sauvé le duché lorsque le groupe Bazin, Ryllas, Mazarin a tenté d’en prendre la tête. Son travail acharné, malgré le désintéressement de certains, a porté ses fruits et les « désintéressés » ont du revoir leur jugement sur cette affaire.

- Conseiller Militaire depuis décembre 1458, le Baron de Digoine fit mettre en place des nouveaux statuts en Bourgogne pour aider l’armée. Désormais grâce à ses travaux nous développons considérablement et intelligemment notre puissance militaire ainsi que notre artillerie.

- Conseiller militaire au sein de l’Union de des Fleuves. pendant 6 mois.

Fonctions auprès de la municipalité :

- Lieutenant de Police de Sémur en 1456 durant 3 mois

- Sergent de Police de Sémur en 1456 durant 2 mois

- Douanier de Sémur durant 2 mois

- Conseiller municipal de Sémur depuis 44 mois

- Tribun de sémur durant 4 mois

- Maire de sémur durant deux mandats consécutifs.
09/02/1457 au 10/03/1457 Eusaias (élu au 1er tour à 100%)
11/03/1457 au 09/04/1457 : Eusaias (élu 74.50%) - 2e mandat

Charges royales :

- Sergent du guet de Paris. (septembre 1458-janvier 1459) Lorsque le baron a décidé de mettre fin à cette tâche, afin d’assurer un travail plus efficace en Bourgogne, Kalimalice d’Austrasie Prévôt de Paris a refusé sa démission et lui a réclamé de prendre seulement une pause. Ceci est bien preuve que de partout ou s’implique le Baron, son charisme, son travail de laisse pas indifférent.

- Garde du Roy lors de la tournée Royal, il accompagna le Roy Levan à travers trois duchés.

- Champion du Grand Maitre de France et Régent, sa seigneurie Marie Alice Alterac.

Autres :

-Maitre d’arme chez les Basilics. Cette compagnie qui a pour vocation la défense du duché et de ses sujets, s’était doté du meilleur épéiste de bourgogne, en la personne du Baron Eusaias.

- Champion ducal durant trois mandats.

-Bourrel de Bourgogne de juillet 1457 à janvier 1458. Alors que les mercenaires de la Zoko venaient d’être mis au fer, la plupart des bourguignons craignaient représailles. Eusaias accepta lui en revanche de rappeler aux brigands qu’on ne peut attaquer la Bourgogne impunément

Parcours Militaires:

- Aide à la croisade en 1459. Il aida deux armées croisées à être formées au sein de la Bourgogne, proposant Chalon et Macon comme villes d'accueillent pour les croisés. Ceci lui valu les remerciements de l'Eglise Aristolécienne.

-Guerre du Berry (1455). Il fut mercenaire pour les armées de Bourgogne lorsque celle-ci prirent les armes pour défendre le Berry. Eusaias fut reconnu comme l’un de nos meilleurs hommes.

-Reprise de Dijon (1455). Ce fut à coups de hache et d’épée, que le mercenaire sémurois tailla un passage dans les rangs des brigands afin que la noblesse du duché puisse passer et reprendre. Arrivé le premier aux portes du château, son maniement des armes fut une des pièces de la victoire Bourguignonne.

-Guerre d'Artois (1456) Sur demande du connétable Gaborn de Hennfield duc de Louhans, l’homme d’arme fut envoyé en Artois, afin d’aider à la paix où aux armes, dans l’intérêt de la Bourgogne et du royaume.

-Guerre de Bretagne (1456)

-En Janvier 1457, il combattit l’hérésie se faisant l’un des principaux organisateurs de la traque.

-Protection de la Bourgogne contre les mercenaires de l’armée ZOKO (1457) Il dirigea de lance de mercenaires à travers la Bourgogne afin de sauver la ville de Cosne dans un premier temps et organisa en même temps la préparation d’une armée en Champagne, avec l’accord de ce duché, afin de couper la route aux brigands qui fuyaient.

-Guerre du Berry (1457) Le Baron fut le meneur de la lance de mercenaires bourguignons qui incorpora les troupes royalistes. Il harcela avec les siens les troupes de mercenaires employées par le Berry qui avaient pour mission d’attaquer Cosne et Nevers ralentissant considérablement leur avancé et permettant ainsi à la Bourgogne de préparer ses armées.

-Organisateur de l’infiltration et de l’élimination d’une armée de mercenaires voulant attaquer Dijon. (1458) Alors qu’il venait de renvoyer un indésirable hors des frontières Bourgogne, Eusaias, alors duc de Bourgogne, apprit par le biais de son organisation d’espion, que l’indésirable faisait préparer une armée afin de venir saccager la Bourgogne. Prenant le souci à bras le corps, le « Grand Lion de Bourgogne » envoya ses troupes infiltrer l’armée de marauds et la détruire de l’intérieur avant qu’elle ne puisse commettre le moindre souci. La mission fut menée à bien grâce à l’expérience militaire du Duc.

-Protection de la capitale Bourgogne sur ordre de sa grâce Angélyque. (1458) Durant deux mois et demi, le Baron de Digoine organisa avec son frère le Baron de Montréal des patrouilles autour de notre capitale afin de sécuriser celle-ci. Lorsque la capitale Franc Comtoise fut attaquée, les deux hommes devinèrent que les troupes de brigands se rabattraient sur Dijon afin de retenter leur chance, vu qu’ils avaient échoué chez nos voisins. Le Baron tout comme son frère firent lever les bannières et préparer leurs hommes et dans la plaine à l’Est de Dijon, les Bourguignons stoppèrent la majorité des assaillants.

Citation :: A la très noble assemblée des Hérauts de France,
Salutations !

Nous, Angélyque de la Mirandole, Duchesse du Charolais et Baronne de Cruzy le Chastel, vous faisons savoir que nous soutenons pleinement cette patente, comme nous vous l'avions déjà fait savoir à la fin de notre dernier mandat de duchesse.

Apparemment il manquait des hauts faits pour certains représentants de la Hérauderie, la patente a donc été revue pour vous apporter des informations complémentaires afin que vous puissiez mieux juger. Nous rappellons que le Collège de la noblesse de Bourgogne a soutenu quasi unaniment cette patente, la seule personne qui s'y est opposée, paix à son âme etait la Vicomtesse Sorane, car elle condamnait la bastonnade que le Baron Eusaias avait donné à un gueux qui se permettait d'insulter non seulement notre personne mais aussi notre armée, et ce à maintes reprises. Cette femme a fini sa vie tristement, assassinée dans une taverne, Peut être même par le fameux Mildiou qui avait fini par se retourner contre elle.

Tous les autres nobles, et non des moindres ont soutenu notre proposition de bailler fief de mérite à Eusaias de Blanc Combaz.

Nous ne pouvons que louer pour notre part cette bastonnade, nos services de renseignements ont de plus appris que ce roturier comptait aider des brigands pour attaquer une de nos bonnes villes, la bastonnade de ce sieur a fait fuir ses amis hors de Bourgogne.

Par ailleurs, nous avions été informée également que le sieur Falco comptait semer la terreur en notre duché en compagnie de deux autres personnes, nous en avons immédiatement informé le baron Eusaias qui s'est chargé de leur tendre un piège, Falco a été serieusement blessé, les deux autres ont péri durant cette embuscade.

Ce ne sont pas les seuls de ces hauts faits, la patente en fournit d'autres également comme vous pouvez le constater, sans lui, il est évident que plusieurs villes, voire le château serait tombé, alors que durant nos trois mandats nous n'avons eu de cesse de repousser des attaques, nous attirant l'ire et la concupiscence d'engeances telles que l'Hydre qui n'a cessé de tourner aux alentours de Dijon et qui se faisait sans cesse repousser par les assauts de l'armée de Digoine, les membres de l'Eldorado, réputés pour leur capacité à avancer discrètement, ils rebroussaient sans cesse chemin, ainsi que des Lions de Genêve, voulant nous faire payer notre implication dans la guerre de Savoie et de Genêve, ils ont perdu nombre de leurs membres sitôt arrivés en Bourgogne, tout le mérite revenant à cet homme que nous louons aujourd'hui.

Nous insistons sur le fait, et nombre d'entre vous pourrez vous en rendre facilement compte, que les seuls qui pourront s'élever contre cette proposition le font par inimité personnelle envers moi-même, ou envers le baron de Digoine. Nous ne doutons pas un seul instant que la majorité d'entre vous saura faire preuve de clairvoyance et chasser le bon de l'Ivraie, lors de cette seconde présentation.

Cet homme a un mérite immense, au delà de tout ce qu'on peut imaginer et attendre d'un noble bourguignon, notamment en termes de défense, de protection de notre duché, de surveillance de nos routes, d'aide diplomatique. Il n'a pas hésité à assister notre Chambellan, la Dame de Railly, Della d'Amanhir Euphor, alors que deux vice-chambellan, anciennes régnantes ont démissioné de leur poste, pensant de cette façon affaiblir notre diplomatie.

Il a été là partout où le besoin s'en faisait ressentir, délaissant ses propres interêts, sa propre vie, afin de nous assister et nous soutenir durant ces trois mandats qui furent plus que difficiles.

La Bourgogne d'aujourd'hui est rayonnante, sans Eusaias, rien n'aurait été possible, Grâce à lui, notre fierté, notre honneur est à son plus haut niveau ce qui a entrainé nos si écrasantes victoires sur nos ennemis, victoires saluées encore aujourd'hui par l'Eglise.

Grâce à des calculs minutieux nous avons, en dépensant moins que nos prédécesseurs donné de prestigieuses fêtes, rendant ainsi à la Bourgogne le prestige qu'elle avait perdu, et tout cela en dépensant moins.

La Bourgogne terminait la semaine en négatif à notre arrivée au pouvoir, à la fin de notre troisième mandat nous nous payions même le luxe de pouvoir donner des primes à plus de quarante soldats, nobles et civils ayant participé à la Guerre en Savoie et à la Croisade de Genêve. Nous avons du faire face à 9 dégradations minières, avec les frais que cela peut engendrer, à présent, meme en fin de semaine, notre trésorerie était que plus que largement positive. Sans cet homme, rien de cela n'aurait été possible, il nous a permis de nous surpasser dans notre tâche, notamment en anticipant les attaques des brigands.

Le jour où Nevers à été prise, le Baron était déjà sur place, n'hésitant pas à balancer les brigands par la fenêtre afin de reprendre possession des lieux, les pertes occasionnées ont été de ce fait plus que minimes. Il a ensuite brillament administré la mairie le temps que soit organisée une remise en ordre de la mairie. Tout cela en assurant son poste de conseiller ducal, de conseiller militaire, de vice Chambellan de la zone sud, d'ambassadeur auprès de plusieurs provinces.
Nous pouvons, sans contestation aucune, dire que si la Bourgogne va bien aujourd'hui et resplendit à nouveau dans le royaume c'est en très grande partie grâce à cet homme qui a toujours agi dans l'ombre, sans rien attendre en retour.

Digoine s'illustre en Bourgogne depuis des années, il est temps aujourd'hui de saluer son mérite.

Digoine a prouvé son amour pour le duché de Bourgogne, il a prouvé sa volonté de le porter au plus haut. de la noblesse d’âme, il en déborde. Ses détracteurs lui reprochent son verbe haut, il n'hésite pas à dire haut et fort ce qu'il pense, mais au final ne s'attire antipathie que de flagorneurs et jaloux, qui font passer leurs interêts personnels bien après ceux de la Bourgogne.

Eusaias, s'est donné, avant et après avoir reçu son fief de retraite, ne se reposant pas sur ses acquis et sans jamais faiblir.

Puisse le Très Haut en être témoin et nous frapper de son courroux si une seule chose devait s'avérer fausse.

Citation :

A Thomas de Clérel, Pair et Roi d'Armes de France, magnanime duc de Dun-le-Roy,
Aux hérauts d'armes royaux de France,
Salut.

Montjoie,
Vos Excellences,

L'anoblissement et l'octroi qui va de pair avec lui ne doivent pas être effectués sans discernement, c'est notamment pour ces raisons qu'il revient au collège héraldique, en s'appuyant sur les éléments qu'on lui transmet, de s'exprimer sur le bien-fondé des patentes présentées par les Grands Feudataires du Royaume de France et de trancher, en son âme et conscience afin de valider ou non les requêtes communiquées.

Depuis bien longtemps maintenant, la noblesse bourguignonne a, tant par ses actes que par ses discussions, agi afin de montrer aux ducs de Bourgogne la conception de ce qu'était pour elle l'aristocratie et ses valeurs et le duché lui-même, au-delà de cette noblesse, a, dans la volonté de protéger ses domaines de l'inconséquence de certains régnants – car l'on ne peut après tout pas être sûr que toujours un duc sera éclairé, sage et intelligent – consacré le rôle capital de la noblesse en matière de conseil en général et d'avis sur les anoblissements en particulier dans sa Ius et cela, en prévoyant que le duc était tenu de demander l'opinion de ses vassaux quant aux octrois qu'il pourrait désirer voir réalisés. Et cette obligation qui ne doit pas être vue comme un carcan mais bien comme une volonté de préservation a été remplie encore récemment.
En effet, le nom du baron Eusaias de Blanc-Combaz ayant été proposé pour un anoblissement et un octroi de fief au rang de baronnie, le Collège de la Noblesse a été invité à faire connaître sa position. A l'issue du débat et du vote qui a succédé à ce dernier, la noblesse de Bourgogne par vingt-et-une voix contre cinq sur les vingt-six ayant été exprimées s'est déclarée favorable à de tels anoblissement et octroi.

De cela, par la présente, je témoigne et établis par ledit témoignage la véracité de ce fait.

Rédigé et scellé à Dijon le septième jour de mars de l'an de grâce MCDLVIX.

SA Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg,
Présidente du Collège de la Noblesse bourguignonne.

D'un service pour un ami Sceauingegueules

Citation :: A la noble assemblée des Hérauts du Royaume de France,

Salut et Amitiés aristotéliciennes.

Nous, Lenada de Valmont, Duchesse de Bourgogne, venons, présenter la demande d'octroi d'une Baronnie de Mérite à l'endroit d'Eusaias de Blanc-Combaz, Baron de Digoine.

Il n'est plus un Bourguignon qui ignore le nom d'Eusaias de Blanc Combaz tant ses actes sont nombreux et grands pour la Bourgogne !
Décrié parfois, il est vrai, par ceux qui tremblaient devant sa rigueur et sa justice, Eusaias est pourtant l'un des personnages à qui la Bourgogne doit énormément.
Courageux, invincible, droit, franc et honnête, il sait ce que le mot honneur veut dire et il porte par devant tous, cet honneur qui lui vaut, entre autres choses, cette demande d'octroi.

Le Baron de Digoine est avant tout un homme d'armes, un militaire, un soldat.
Techinicien hors pair dans l'organisation des armées, il a maintes fois pris le commandement ou assisté les Généraux dans leur stratégie. A chaque fois, les entreprises furent couronnées de succès !

Le Baron de Digoine est aussi un homme politique.
Lors de ses mandats de Conseiller et de Duc, il a su prendre les bonnes décisions, au bon moment tantôt pour faire grandir la Bourgogne, tantôt pour la défendre de toutes les attaques dont elle était la cible et la prémunir des projets fallacieux de certains de ces ennemis tant étrangers qu'en son sein.

Le Baron de Digoine est également un diplomate, même si cela peut surprendre au premier abord.
De nombreuses tâches diplomatiques lui furent confiées au fil des ans et toutes furent menées de main de maître. Ses supérieurs hiérarchiques n'ont que félicitations à lui faire.

Cerise sur le gâteau, cet homme est totale abnégation de lui-même. Toute sa vie est entièrement donnée à la Bourgogne. Aucun de ses actes n'a pour but sa propre satisfaction ou sa mise en avant. Rien ne compte que la Bourgogne.

A la lecture des lignes précédentes, l'on pourrait se dire que tout ceci est exagéré. Nous nous en rendons compte. Et pourtant, nous pouvons vous assurer qu'il n'en est rien et qu'en Bourgogne, seuls les gens malhonnêtes n'apprécient pas Eusaias de Blanc-Combaz.

Une carrière...non, une vie entière de dévouement mérite une telle reconnaissance.

Puissiez-vous vous en laissez convaincre afin que Eusaias de Blanc-Combaz soit remercié de la plus belle des façons.

Dijon, le .... 1459.

Lenada de Valmont.

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