Correspondance diverse

Citation :

Expéditeur : Gargantua de Montestier de sa Christylamour
Date d'envoi : 27/06/2011 - 15:11:33
Titre : coucou ma nièce

coucou ma nièce,

comment tu vas? dis j'ai une question pour toi. Max, ton frère, m'a dit que tu avais une seigneurie à pourvoir. et je sais pas si tu le sais mais avec Christyl on est en train de faire les papiers pour finaliser notre mariage.

malheureusement, chose que je n'avais pas pensé, c'est que j'ai des titres de noblesses et pas elle. donc, j'imagine que tu vois où je veux en venir... je souhaiterai te demander de prendre Christyl, ta future tante, comme vassale. au moins le temps de finir le mariage.

tu penses que ça serait possible?

je te donne ma mésange pour en parler si tu souhaite

albaromain@hotmail.fr

je te fais de grosses bises.

ton tonton

Garg

Moi, le 28 juin a écrit:

Mon cher Oncle,

Le bonjour te va !

Je me réjouis que tu sois en voie de prendre épouse.
C'est là une bien belle aventure pour qui est prêt à s'y engager.
Je te présente déjà mes voeux de bonheur pour ce qui reste de tes fiançailles.

J'ai bien lu ta demande.
Je dois t'avouer que je trouve cavalière.
En effet, tu n'es pas sans savoir, toi qui es Noble, que la Noblesse n'est pas une vaine idée qui a fait son temps.
Je sais que certaines contrées vendent des fiefs afin de renflouer leurs caisses mais cela m'a toujours semblé complètement ridicule.

En effet, il se trouve que je pourrais prendre vassal.
Je pense qu'un vassal ne se choisit pas à la légère.
Il s'agit d'une personne en qui on a totalement confiance parce qu'on la connait et que l'on sait qu'elle nous apportera l'aide, le bras armé et le conseil dont on peut avoir besoin.
Il peut aussi s'agir d'une personne qui a rendu bien des services, qui a travaillé dans l'ombre comme intendant ou secrétaire, même palefrenier.
Mais en aucun cas je n'entends distribuer des fiefs par nécessité ou sur demande et cela même si la demande vient de mon Oncle.

Je suis au regret de te répondre par la négative, Oncle Gargantua.
Je sais que tu comprendras.


Que le Très Haut te bénisse.

Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor.

Citation :

Expéditeur : Gargantua de Montestier de sa Christylamour
Date d'envoi : 28/06/2011 - 18:30:54
Titre : Re: Re: coucou ma nièce

bien le bonsoir ma nièce,

je comprends tout à fait ta position, mais il ne m'en coutait pas grand chose de te demander.

je vais voir comment je peux faire et sinon j'abandonnerai mes titres sans la moindre hésitation. que valent-ils si je ne puis les partager avec la femme que j'aime?
j'espère à très bientôt.

un gros bisou

Garg

Soutien à la Touraine.

Citation :

De nous,
Angélyque de la Mirandole, Duchesse du Charolais, Baronne de Cruzy le Chastel
Et
Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan

A la très noble assemblée des Pairs,


Salutations aristotéliciennes.



Par cette missive, nous venons ajouter nos voix à celles qui déjà se font entendre afin de saluer l'action menée par la Touraine sous la houlette de son Duc LLyr di Maggio et d'Astralgan envers le félon Poilu dont le nom ne mériterait même plus d'être cité.

Il nous peine de penser que malheureusement ce sont les Berrichons qui seront les victimes involontaires des actes commis par l'infâme qui se nomme leur dirigeant et nos prières déjà s'élèvent afin de supplier le Très Haut d'accorder à ces gens la bénédiction qu'ils espèrent et qu'ils soient épargnés lors des affrontement qui secoueront leur province.
Les actes répétés du Poilu, se moquant éperdument des ordres de la Reyne, mettant en danger le Berry et les Berrichons, ne peuvent restés impunis. Son arrogance ne peut demeurer muselée. Le Poilu doit mordre la poussière, il doit répondre de ses outrances et souffrir pour expier !

Nous assurons tout notre soutien au Duc LLyr di Maggio et d'Astralgan et à la Touraine. Qu'il jette l'impudent hors du trône qu'il occupe sans droit, qu'il fasse montre de cette détermination qui le caractérise afin de mettre à mal l'instrument de la créature sans nom ! Qu'il trucide l'animal sans remord !

Si dans l'immédiat, ce soutien ne peut se faire de façon armée, il l'est déjà en prières qui deviendront épées dès que cela se pourra.

Puisse le Très Haut guider ses enfants sur le droit chemin et faire se repentir les égarés.

Pour Dieu et la Couronne !



Angélyque de la Mirandole,
Duchesse du Charolais,
Baronne de Cruzy le Chastel.

Argumentum Baculinum !




Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
Baronne de Seignelay
Dame de Railly et de Bréméan.

Saigne-les !

Llyr a écrit:

Il y a des nouvelles réjouissantes, mais j'avoue que la votre est une bouffée d'air frais et un ravissement aux Yeux de la Touraine, qui n'oubliera pas ce geste, aussi longtemps que je serai vivant pour cela.

Soyez en remercier !

Pour Jacklepetit.

Citation :

Au Sieur Jeanmerlin d'Epernay,
Chambellan de Champagne

Le bonjour vous va !


Permettez que je vienne par ce parchemin vous dire combien je suis fâchée !
Oui, je suis fâchée de devoir me séparer de mon cher Ambassadeur, son Excellence Jacklepetit.
Je suis très contrariée de le voir quitter la Bourgogne pour la Champagne !
Vrai quoi...y a pas de comparaison possible entre la Champagne et la Bourgogne...Enfin puisque tel est son choix, je lui fais un dernier plaisir et je vous écris cette bafouille pour vous le recommander chaudement en tant qu'ambassadeur.
C'est un homme droit, sincère et honnête, très acharné à la tâche même si ces derniers jours, il se la coulait douce.
Bref, un Ambassadeur parfait !

Toutefois, si vous pouviez ne pas l’embaucher, peut-être reviendrait-il en Bourgogne, qui sait ?
Si tel était le cas, que vous me le renvoyiez, je vous promets de faire brûler une douzaine de bons cierges pour votre âme.
Si jamais vous préférez garder mon cher Jack chez vous, tant pis, je ne prierais pas pour vous.

Voilà, la décision vous revient.
Soyez sans crainte, je ne déclarerais pas la guerre à la Champagne si vous gardez mon p'tit Jack mais dans ce cas, attention...si jamais j'apprends que vous le maltraitez...je débarque !

Que le Très Haut vous bénisse ainsi que mon Jackounet.

Bien à vous,
Diplomatiquement.

Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan,
Chambellan de Bourgogne.

Citation :

A Della d'Amahir d'Euphor, baronne de Seignelay, dame de Bréméan et de Railly,
Salut.


Ma dame,

J'ai déjà tenté, il y a quelques semaines, de vous faire part de mon sentiment et je ne pourrais expliquer ce qui a causé mon silence alors que j'étais pourtant si résolue à me confier à vous*. Après tant de mois écoulés, je ne sais encore ce qui a bloqué mes paroles, ce qui a retenu mes explications tant il m'est apparu nécessaire, à la fin de l'année écoulée, de faire amende honorable pour nombre de mes actes. Mais en ce jour où vous allez devenir, aux yeux de la Bourgogne et devant vos pairs, la baronne de Seignelay, je vous dois, je me dois, je nous dois donc, de m'exprimer enfin et rien ne me fera varier de ma résolution. Je vous prie d'excuser le caractère abrupt de mes propos mais je crois qu'il faut savoir se débarrasser parfois des précautions de langage.

Jamais il n'a été dans mes intentions de vous écarter de celle qui était encore duchesse du Nivernais et jamais mes actes et mes propos n'ont visé à cette rupture du lien de vassalité entre Béatrice de Castelmaure-Frayner et vous. Quand je m'ouvris à elle des difficultés qui nous opposaient toutes deux, j'étais simplement guidée par l'idée que je me faisais de la supériorité qui était la mienne, en tous points de vue, et nobiliaire notamment. Je n'avais rien à tirer d'une brouille entre une femme avec laquelle je n'étais liée que par la vive amitié qui m'unissait à son époux et sa vassale, je n'avais rien à gagner si ce n'est plus de méfiance de sa part et plus de circonspection; j'entendais simplement que le respect qui m'était dû me fût effectivement rendu. A quel point ai-je été maladroite, je ne saurais le dire et je vous prie instamment de me croire quand je vous affirme que la réponse de ma voisine de Chablis me surprit et me laissa pantoise. Elle parlait de tribunal héraldique, de vétilles et c'est là que je compris que je ne l'avais pas été de la part de votre suzeraine. Des excuses, oui, une acceptation de ce que je représentais, assurément, mais une plainte, une intervention de la Hérauderie de France? Jamais, il s'agissait pour moi d'une affaire privée et il m'a encore été donné occasion, récemment d'insister sur le caractère intime de la question. Il est une chose de vouloir qu'un rappel de sa condition soit adressé à un vassal, il en est une autre de pousser au retour à la roture et je crois bien pouvoir dire qu'en ce qui vous concerne, il n'en était pas question là où je n'hésitais pas à reprendre Beaumont à votre frère. A ce propos, si la question m'était à nouveau posée, je n'agirais pas autrement, il n'était pour moi que justice de renvoyer Godefroy de Volvent là d'où il venait tant sa honte d'être seigneur et son défaut de savoir-vivre noblement étaient criants. Sur le coup, je ne montrai pas à la duchesse du Nivernais toute l'horreur que m'inspirait sa décision car je ne réalisais pas et je ne parvenais pas à entendre là où elle voulait en venir. Je me bornai alors, tant mon hostilité à votre endroit m'aveuglait, de lui répondre que je ne voulais assister à rien et refusais de témoigner; pour moi, le message était passé, je n'avais plus rien à faire dans cette histoire. Rétrospectivement, je regrette de ne pas lui avoir indiqué que la saisine de la justice héraldique me paraissait exagérée mais je mentirais en affirmant aujourd'hui que cette pensée me vint aussitôt et qu'elle supplanta toutes les autres; ce fut loin d'être le cas. Vous rendîtes finalement Railly et cela je ne le sus que bien plus tard, au hasard de ma consultation de documents héraldiques et j'en demeurai mortifiée bien que peu encline, là encore, à en faire expression. Et Railly vous revint, plus tard, et je fus tentée d'assister à l'octroi. J'étais au courant et Saint Paul m'est ouvert et accessible, je pouvais me présenter sans risquer de me tromper. Pour autant, je renonçai, je renonçai car la duchesse du Nivernais n'avait pas fait réponse au courrier dans lequel je formais le vœu de la rencontrer, pour parler de vous et pour solder le passif existant entre nous et je ne vins pas plus car je ne désirais pas, par ma présence, gâcher vos retrouvailles et me montrer inopportune moi qui pouvais raisonnablement être désignée comme celle qui vous avait privée de Railly et éloignée de Béatrice.

Aujourd'hui, je suis heureuse, sincèrement, de savoir que Seignelay vous échoit et quand je vis, en Hérauderie, qu'une baronnie vous serait accordée, j'indiquai spontanément à Bourgogne que c'est cette terre-là qui vous reviendrait. Mes prévisions, et je ne me flatte pas de les avoir formées tant Seignelay est une évidence, se réalisèrent et voilà qu'en ce jour, dans quelques heures, vous allez prêter serment, pour la première fois, pour ce fief. A nouveau, je souhaite vous en présenter l'assurance, ni avec Béatrice, ni avec Beaumont, il n'était dans mes intentions de vous fouler aux pieds et de vous déposséder et je le loue le Très-Haut qu'Il vous ait permis de recouvrer ce qui était, dès l'origine, vôtre. Et je suis d'autant plus ravie car je vivais, depuis la déchéance de Theognis Montereau, dans la crainte du voisinage qui pourrait m'être imposé, Seignelay bordant le nord du domaine ducal d'Auxerre. Nous voici donc voisines et de cela, je me flatte et espère que vous recevrez cette lettre comme le premier témoignage de la relation de bon voisinage que j'espère voir s'établir entre nous.

Pour conclure, sachez que je n'attends nulle réponse, nul retour votre part. Il fallait que je m'exprime car je tâche de me montrer honnête en toute occasion et que je ne l'ai pas toujours été envers vous.


Que le Très-Haut vous garde.

Rédigé et scellé à Dijon le vingt-neuvième jour de mai de l'an de grâce MCDLIX.

SA Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg,
Duchesse d'Auxerre.

Citation :

De nous Liloute, chambellan d’Orléans,
Au chambellan de Bourgogne, la Baronne Della de la Mirandole-d'Amahir-Euphor, Baronne de Seignelay et de Montpipeau, Dame de Railly et de Bréméan.

Mes hommages Baronne,

C’est avec une certaine tristesse que nous apprenons ce jour votre départ de la tête des ambassades Bourguignonne. Nous tenions à vous faire part de nos regrets mais surtout, nous tenions à vous remerciez pour votre collaboration sans faille et pour votre patience envers nous, car toujours vous avez répondue présente lors de nos sollicitations.

Nous vous souhaitons plein de bonnes choses pour l’avenir…

Je vous prie de bien vouloir agréer, baronne, l'expression de mes honnêtes et respectueuses salutations.

Liloute,
Chambellan d’Orléans.

Citation :

Messire Kalwynn,
Maître des faucons du front Est,
Commandant de la Garde Ducale.


Le bonjour vous va !


Voici que je viens par la présente, sur les conseils de mon époux, le Duc d'Orléans, vous demander quelles seraient les possibilités d'une escorte.
En effet, je dois me rendre en Bourgogne, à Chalon plus précisément où je dois récupérer des biens que je souhaite ramener en Orléans.
Evidemment, je ne souhaite pas être la proie d'éventuels brigands et je me tourne donc vers vous afin de solliciter votre bienveillante garde.
L'idéal serait de voyager à plusieurs afin de pouvoir contrer toute attaque. Quelques gardes bien musclés et si possible agréables à regarder serait pour me contenter.

Je n'ai pas de date à respecter. Je me plierai à vos possibilités.

J'attends de vos nouvelles.

Que le Très Haut vous bénisse.

Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
Duchesse d'Orléans.

Citation :

Expéditeur : Kalwynn
Date d'envoi : 07/04/2012 - 20:38:28
Titre : Votre escorte
Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
Duchesse d'Orléans.


Votre Grasce,

C'est un grand honneur et à la fois un plaisir que vous nous faites en sollicitant notre concours pour vous escorter.

J'ai rendu compte de votre demande au commandement de l'Ost, qui déterminera le moment stratégiquement idéal pour ce déplacement.

Je me permettrai de revenir vers vous avec ces informations.

Qu'Aristote vous garde.


Votre dévoué,

Kalwynn Ombremer de Riveroy
Commandant de la Garde Ducale

Citation :

Messire Kalwynn Ombremer de Riveroy
Commandant de la Garde Ducale,


Bonjour !


Je vous remercie pour votre réponse si rapide et je me réjouis d'avoir trouver un écho positif.
Je reste à votre disposition en attendant de vos nouvelles.

Que le Très Haut vous bénisse.

Bien à vous.

Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
Duchesse d'Orléans.

Citation :

Expéditeur : Davia_corsu
Date d'envoi : 20/03/1461 - 21:40:22
Titre : Rendez-vous

Chers amis,

Vous êtes cordialement invités à ma cérémonie d'anoblissement qui aura lieu en Champagne, en terre d'Izard, le vingt troisième jour de Mars de l'an de grâce mille quatre cent soixante et un.

Ce serait un honneur pour moi de vous avoir à mes côtés.

Davia

http://terresdizard.forumactif.org/

Chère Davia,
Ma Cousine,

Bonjour.

Je suis très touchée par ton invitation, je te remercie.

Cependant, il me faut décliner.
En effet, Kéridil m'a fait part de son intention de m'emmener à la chasse, justement ce jour-là.
Tu sais que lui et moi avons pris un accord commun, tacite certes mais bien réel en ce sens qu'il désire me faire reprendre le droit chemin, ce que lui entend par droit chemin, évidemment.
En d'autres temps, je l'aurais envoyé chasser tout seul et serais venue près de toi. Hélas, aujourd'hui, je ne peux et j'ai le devoir de suivre mon époux.

Réfléchis bien avant de prononcer ton serment, mon Cousine.
Pas plus tard que ce matin, j'ai écrit pour destituer mes deux vassaux qui ne respectaient pas leur promesse d'aide armée, de soutien et de conseils.
N'oublie pas qu'en devenant vassale en Champagne, dès que la Champagne lèvera le ban, tu risqueras d'être appelée par ton suzerain qui pour une raison ou une autre ne pourrait répondre favorablement au ban. As-tu vraiment envie de servir la Champagne ? Parce que derrière le suzerain que l'on apprécie, il y a une province à qui, de façon indirecte, on est lié.

Je t'embrasse.

Que le Très Haut te guide.

Della.

Bonjour messire.


Aurez-vous l'élégance de pardonner cette outrecuidance qui me porte à vous écrire ?
Je connais les us et je sais pertinemment bien qu'il n'est pas habituel qu'une femme prenne la plume pour correspondre de cette façon avec un presqu'inconnu.
Cependant, alors que j'aurais aimé, hier, prendre le temps de bavarder encore avec vous, l'occasion ne m'en fut pas donnée et m'étant enrôlée avec mes Compagnons dans l'armée du Capitaine Luane, je ne pouvais me défaire de cet engagement. Or, ce jour, nous voici rendus à Autun sans que je puisse ni vous parler, ni vous dire au revoir. Il n'est pas dans mes habitudes d'agir de la sorte, pas plus qu'il ne l'est d'écrire ainsi. Je ne comprends pas moi-même pourquoi je suis chagrinée et contrariée par le fait de ne pas vous avoir revu. Peut-être vous ai-je trouvé sympathique et jovial. A moins que ce ne soit vos gentilles manières qui m'aient plu ? Je ne sais.

Pour autant, voici donc que je m'acquitte au moins de cet au revoir que j'aurais voulu vous dire de vive voix. Si jamais vous reprenez votre route, pour l'Empire ou pour d'autres cieux, je vous en prie, prenez soin de vous. Je prierai le Très Haut et lui demanderai dans mes prières de vous protéger et d'étendre sur vous sa bénédiction. Peut-être le hasard nous placera-t-il une autre fois en présence et je vous promets d'alors profiter de ce jour au mieux.

A Dieu va !